Communiqué du 10 oct 2025

En février 2025, l’association AAVIC Team a procédé à des dépôts de plainte auprès du Procureur de la République de Paris, afin d’obtenir justice pour les dommages subi par les victimes des « vaccins » contre le COVID-19, la toute premier fût donc déposée à ce moment là. Courant, juillet 2025, l’association a pu déposer 17 autres plaintes de victimes.

Depuis, la famille de la victime de la première plainte a reçu, mi-septembre, un courrier, leur annonçant le classement, sans suite de leur plainte, soit quasiment sept mois après son dépôt. Mais fait surprenant, quatre autres victimes ont, elles aussi, reçu un classement sans suite de leurs plaintes.

Nous sommes donc en droit de nous questionner sur cet énorme écart, dans les délais de retour de toutes ces plaintes. Nous savons tous que la justice française possède de très longs délais de traitement, mais pourquoi ces six plaintes, avec les mêmes motifs, on eu un retour de classement sans suite dans les mêmes délais que celle déposée cinq mois plus tôt.

Vous trouverez ci-dessous le communiqué de l’avocat de l’association AAVICTEAM, Maître Régis Senet, qui lui aussi s’interroge sur de telles différences de délais de traitement des dossiers :


Objet : Information sur les Classements Sans Suite des Plaintes Liées au COVID-19 et Lancement Immédiat de Recours

Le 10 octobre 2025

Chers Membres d’AAVIC TEAM,

Je tiens à vous informer de l’évolution récente concernant les plaintes déposées, dans le cadre de notre action collective relative aux obligations vaccinales contre le COVID-19 et de leurs conséquences potentielles.

À ce jour, toutes les plaintes soumises ont fait l’objet d’un classement sans suite, par le Parquet de Paris, notifié dans les derniers jours.

Curieusement, la première plainte a été déposée en février 2025, suivie d’autres déposées à partir de juillet 2025. Malgré cet écart de plusieurs mois, les décisions de classement ont été rendues quasi simultanément au cours de cette semaine.

Cette synchronisation peut nous faire nous interroger sur les modalités de traitement des dossiers.

Ces classements, fondés sur l’article 40-1 du Code de procédure pénale, reflètent une décision discrétionnaire du parquet, qui juge les éléments fournis insuffisants pour engager des poursuites, sans qu’aucune enquête préalable n’ait été menée. Ceux qui veulent continuer à défendre la sécurité, sans faille, de leurs « vaccins », espèrent que nous nous découragions. Au contraire, soyons encore plus forts et encore plus motivés.

Ces classements sont une insulte aux malades, une insulte et une humiliation supplémentaire que nous ne pouvons laisser sans réaction.

Nous avions entrepris cette démarche car les saisines préalables de l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (ONIAM) ont abouti à des réponses défavorables ou à des propositions d’indemnisation dérisoires, ne répondant pas aux attentes légitimes des victimes.

Au-delà de l’aspect financier, ces plaintes visent à obtenir des explications claires et transparentes, sur les raisons pour lesquelles la population a été encouragée à se faire vacciner avec un produit, présenté comme expérimental. Elles cherchent également à établir la responsabilité des acteurs impliqués, dans ce que nous considérons comme un scandale sanitaire, afin qu’ils soient tenus de rendre des comptes ainsi que d’être tenus pour responsables.

En conséquence, nous lançons, sans délai, des recours devant le Procureur Général, conformément à l’article 40-2 du Code de procédure pénale. Ces recours, gratuits et prévus pour une durée de 1 à 2 mois, seront adressés par lettres recommandées avec accusés de réception, d’ici les prochains jours. Une réunion est prévue prochainement afin de coordonner nos efforts et ainsi explorer les actions collectives renforcées.

Me Régis SENET, avocat de l’association AAVIC TEAM